Le plateau de Peyrerouge.

2013-07-22

Le Chapeau dePeyre Rouge

      17kms 1050m 

Nous sommes quinze au départ de cette randonnée, qui nous mènera de la Richardière via le Pas de la Selle, la plaine de la Queyrie, le pas de L’Ours et le pas de l’Aiguille à travers les plateaux de Peyrerouge.

Jean-Pierre a la bonne idée de mettre en place une navette, car 3 km de piste en fin de randonnée, n’est pas très réjouissant.

Nous sommes au pied du Mont Aiguille et venons de quitter le hameau de la Richardière, pour nous engager dans la forêt domaniale de Chichilianne, pour atteindre le col de l’Aupet ou une petite pose est la bienvenue, le point de vue est de toute beauté et quelques photos s’imposent.

La face ouest du mont Aiguille, le Grand Veymont et son Aiguillette, les rochers du Parquet, et Tête Chevalière. Nous voilà au centre d’un cirque magnifique.

Il nous faut repartir et à travers de nombreux éboulis nous atteignons la Pas de la selle, qui nous ouvre les Hauts plateaux du Vercors. En orientant notre marche vers l’ouest en direction de la fontaine des Bachassons, les premières Edelweiss attirent l’attention sur les pelouses d’herbes plus rase, assez commune, la jolie fleur symbolique, provoque toujours la même admiration, lorsqu’on la découvre couverte de son duvet cotonneux, l’Edelweiss symbole de la flore alpine, est menacée par la cueillette, même quand elle parait abondante comme ici.

Direction la plaine de la Qeyrie et son arbre taillé et les carrières romaines. Nous croisons une famille qui chemine avec un âne ainsi que de nombreux randonneurs, il est vrai que nous sommes prés des GR 91 et 93.

Nous nous orientons sud – est par le jasse de Peyre rouge et quelques centaine de mètre plus loin une superbe salle à manger nous tend les bras.

Le repas tel que nous le pratiquons au sein de l’Amicale, une toute petite sieste, le temps des desserts, car déjà les nuages se font menaçants.

Nous passons sous Tourte Barreaux en direction du Pas de l’Ours et le refuge de Chamailloux.

Un moment de recueillement au mémorial des Maquisards, tués dans les grottes qui surplombent le pas de l’Aiguille.

La descente est mal commode et le temps de plus en plus menaçant, c’est donc le plus rapidement possible, que nous rejoignons les voitures juste avant l’orage qui s’abat sur nous avec un bruit de tonnerre assourdissant dans les gorges du vallon des fourchaux.

Merci à Jean-Pierre pour cette magnifique Randonnée, qui laissera à tous de magnifiques souvenirs.

                          Noel.   

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