Traversée du Grand Morgon

Publié le 16 Octobre 2023

 

   Dimanche 15 Octobre  2023  

 

Traversée du Grand Morgon : ascension par la face ouest et retour par le sentier de l’Echelle

 

∆ 1 300 m // 18 km // 6h45 de marche // 14 participant(e)s

 

La randonnée démarre depuis la route forestière, quittant la D7 (menant à Pontis) à la cote 1071m. La route est caillouteuse et on se gare, dès que possible, à la fontaine (altitude 1180m).

On démarre à 8h40 et on suit la route forestière durant 400m. On bifurque à droite par un sentier montant au col de Morgonnet. La montée est très raide mais bien à l’ombre et on atteint le col précité au bout d’une petite heure.

On poursuit vers l’est sur la crête du Morgonnet le long d’un sentier pentu, avec une pause réparatrice bienvenue lorsque l’on émerge de la brume ; on suit le sentier, qui rejoint des vires sous les barres du grand Morgon jusqu’à atteindre le couloir sommital. Après un crochet, on poursuit le sentier bien marqué mais très raide. On escalade une courte cheminée, avec un pas d’escalade au départ peu exposé; puis on rejoint facilement l’épaule nord du Grand Morgon et on atteint le sommet à 12h10.

Après avoir profité du vaste panorama et pique-niqué au sommet par une météo agréable et sans vent, on descend vers 13h15 par l’itinéraire normal de la montée en versant est. On suit le nouvel itinéraire tracé en bordure de la forêt en versant nord pour éviter l’alpage. Arrivés aux portes du Morgon (source), on bifurque en versant nord pour emprunter le sentier de l’échelle, sans difficulté notable à part une échelle de 4m de haut et quelques courts ressauts où l’on s’aide aisément de bonnes racines saillantes. On retrouve la route forestière vers 15h45 que l’on suit vers l’ouest jusqu’au parking atteint à 17h, après une marche un peu longuette mais un dénivelé positif de moins de 100m.

Une longue et magnifique randonnée, à refaire par beau temps dégagé et sans vent pour profiter du panorama durant toute la montée depuis le col du Morgonnet.

Michel

 

Rédigé par Jean Daniel

Commenter cet article